AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-26%
Le deal à ne pas rater :
Bosch BBS8214 Aspirateur Balai Multifonction sans fil Unlimited ...
249.99 € 339.99 €
Voir le deal

Partagez

Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Peter M. Pan
Peter M. Pan

Bloody Demon


Messages : 87


Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Empty
MessageSujet: Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. EmptyJeu 10 Aoû - 20:14


Peter Malcolm Pan
ft. Robbie Kay
↘️ carte d'identité
Je me présente, je me nomme Peter Pan, et j'ai 19 ans. Je viens tout droit de Neverland et, dans la vie, je suis étudiant. Je suis arrivé ici depuis quelques mois et je m'y plais bien. Je suis hétérosexuel et actuellement célibataire. Je finirais par vous dire que je suis dans le groupe intitulé citrine. Maintenant, vous en savez un peu plus sur moi.

↘️ caractère
Narcissique ☠️ Cruel ☠️ Vicieux ☠️ Intelligent ☠️ Manipulateur ☠️ Rusé ☠️ Jouer ☠️ Ambitieux ☠️ Âme de leader ☠️ Imprévisible ☠️ Fou ☠️ Vaniteux ☠️ Charismatique ☠️ Menteur ☠️ Confiant ☠️ Calculateur ☠️ Influent ☠️ Sournois ☠️ Brillant ☠️ Diabolique ☠️ Persuasif ☠️ Moqueur ☠️ Déterminé ☠️ Provocateur ☠️ Sûr de soi ☠️ Observateur ☠️ Ingénieux.

↘️ racontes moi ton univers
Once Upon A Time. Quel drôle de nom pour une série n'est ce pas ? Mais laisser moi vous raconter l'histoire dans les grandes lignes. Il était une fois, une méchante reine frustrée d'avoir perdu l'amour de sa vie, décida de se venger de Blanche-Neige et des habitants du royaume à l'aide d'une malédiction qui les envoya dans un monde réel et sans magie. Ils étaient tous condamnés à vivre la même journée, la même routine. Lorsque cette imbécile de reine adopta le fils de celle qui allait devenir la Sauveuse, Emma Swan, fille de Blanche-Neige et du prince charmant. Je ne vous dit pas plus, regardez la série.
derrière l'écran
alex.
Quel âge as-tu ? 23 ans. Comment es-tu arrivé jusqu'à nous ? J'ai pris un vol de Neverland à Imaginarium. Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. 501489204 Comment trouves-tu notre forum ? Les membres sont géniaux. Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. 1456224308 A quelle fréquence penses-tu nous rendre visite ? Autant de jours et d'heures que possible. Un petit mot pour la fin ? Keur sur vous.
Revenir en haut Aller en bas
Peter M. Pan
Peter M. Pan

Bloody Demon


Messages : 87


Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Empty
MessageSujet: Re: Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. EmptyJeu 10 Aoû - 20:14

« Oh, j'ai oublié de me présenter. Je suis Peter. Peter Pan. »

Qui ne connaît pas le conte de Peter Pan ? Qui ne connaît pas le nom de l'enfant qui ne grandit jamais ? Sauf que la réalité est bien différente de l'histoire. En vérité, Peter Pan ne tombe pas sous le charme de Wendy, il n'écoute pas ses histoires sur lui tous les soirs, il n'est pas partit de chez lui alors qu'il n'était qu'un bébé. Pire encore, Peter Pan n'a pas toujours été un enfant. Et non, la vérité est bien loin de la fiction. Vous ne me croyez pas ? Alors laissez-moi vous raconter la véritable histoire. Mon histoire.

« Je ne veux pas rester ici. S'il te plaît, je serais gentil.
- Ça va me laisser du temps pour trouver un vrai travail, ainsi, nous pourrons être ensemble.
- On peut être ensemble maintenant. Papa, s'il te plaît. Ne me laisse pas ici.
- Ne sois pas effrayé. J'ai trouvé un cadeau. Un ami. Quelqu'un qui sera à tes côtés quand je serai parti. Il sera avec toi quand je ne pourrai pas.
- C'est vrai ?
- Donne-lui un nom. Les noms rendent toujours les choses meilleures. Ils les rendent réelles. Crois moi. Il te protégera. Et je serai revenu avant que tu ne t'en rendes compte. C'est promis. »

Tout commence au Royaume enchanté. À cette époque, je m'appelais encore Malcolm et tout le monde me connaissait comme le charlatan et le lâche du village. Je proposais toujours aux passants de jouer à un jeu de cartes constituant à retrouver une dame dans le paquet. C'était tellement amusant de les arnaquer, c'était vraiment trop facile de leur prendre leur argent. Tout ce que j'avais à faire, c'était de placer la dame recherchée dans ma manche et le tour était joué. Mais ça, c'était avant qu'un des villageois découvre la supercherie et me batte sous les yeux de mon fils, Rumplestiltskin. Ce dernier s'interposa et me sauva la peau. Cependant, le villageois récupéra tout l'argent que j'avais gagné jusqu'alors. Et il fallait que je rassure cette chose qui me tuait l'existence depuis le départ de Fiona. Alors, j'ai regardé mon fils et lui ai dit que je trouverai une solution, comme toujours.
Le lendemain, j'avais trouvé la solution à mon problème. J'allais enfin me débarrasser de ce gamin. Je l'emmenais auprès des femmes du village en prétextant devoir m'absenter pour trouver du travail. Pour qu'il me laisse enfin tranquille, je lui donnais un cadeau, un ami, qui serait à ses côtés quand je ne serais pas là, c'est-à-dire jusqu'à la fin de ses jours. Après lui avoir dit de lui trouver un nom, je le laissais sous la surveillance des femmes. Mais c'était trop beau pour être vrai. Il me surprit, plus tard, en train de recommencer mon jeu avec les passants dans la rue. Alors que je voyais la déceptions sur le visage de Rumplestiltskin, je ne pus m'empêcher de lui courir après. Je lui expliquais que personne ne pourrait m'embaucher à cause de ma réputation. Je fus surpris lorsqu'il me proposa de quitter le Royaume enchanté à l'aide d'un haricot magique. Un haricot rapportait pas mal d'argent au pays, mais je le laissais me convaincre. Me demandant où je souhaitais aller, je me rappelais d'un endroit merveilleux. Neverland.

« Il y a un moyen pour que je reste ici, pour que je puisse faire fonctionner la poussière de fée et voler de nouveau... Comme quand j'étais petit garçon.
- Comment ?
- En laissant partir la seule chose qui me retient... Toi.
- À l'aide ! Un monstre !
- Ce n'est pas un monstre, Rumple. C'est un ami. Il fait partit de l'île. Quand j'aurai fait ce qu'il demande, que je te laisse partir... Il fera parti de moi aussi.
- Ne le laisse pas m'emmener !
- Je n'ai pas le choix. Si je veux rester, je dois croire que je suis à nouveau jeune. Je ne peux pas le faire si tu es là.
- Non, papa, s'il te plaît ! Aide-moi !
- Un enfant ne peut pas avoir d'enfant, Rumple. Je suis désolé, mais c'est vrai. »

Après avoir sauter dans le portail que le haricot magique avait ouvert, nous étions arrivés sur le rivage de l'île. Heureux, je montrais à Rumplestiltskin que l'on pouvait obtenir tout ce que l'on voulait seulement en y pensant. Mais ma plus grande envie était de pouvoir voler comme je l'avais fait autrefois. Je montais alors sur un rocher et sautais. Seulement, rien ne se passa comme prévu. Je me retrouvais affalé sur le sable. C'est alors que mon fils me dit que je ne pouvais peut être pas voler car je n'étais plus un enfant. Je refusais de le croire, je devais sûrement avoir oublié quelque chose. Puis ça me revient, il me fallait de la poussière de fée.
Avec Rumplestiltskin, ça faisait déjà plusieurs heures que l'on marchait. Arrivée à la clairière, je rassurais mon fils pour la énième fois et lui promettais de vivre une expérience incroyable lorsqu'il sera en train de voler. Après avoir grimper quelques mètres à un arbre, je parviens à m'emparer d'une fleur contenant la poussière de fée. Je m'en versais sur le visage mais je ne parvenais pas à voler. C'est alors que je fus surpris par une Ombre qui se présenta comme étant le seul habitant de Neverland et m'accusait par la suite de ne pas avoir ma place ici.
Peu de temps après, je redescendis de l'arbre, me retrouvant alors face à mon fils. Je lui expliquais qu'il avait raison, que Neverland n'était pas fait pour les adultes. Je lui annonce alors que, si je veux rester au Pays Imaginaire, je n'ai pas d'autre chois que de me séparer de la seule chose qui me retienne, c'est-à-dire mon propre fils. Sous mes yeux, l'Ombre surgit et j'expliquais à Rumple qu'il serait beaucoup mieux sans moi et que je n'ai jamais été fait pour être père. Alors qu'il se faisait emmener vers le Royaume enchanté, je me transformais en adolescent. Puis, quand mon fils partit, je ramassais la poupée que je lui avais offert. C'est alors que je décidais de prendre le nom que lui avait donné Rumple : Peter Pan.

« Et qu'est-ce qu'il se passera quand il sera vide ?
- Ta jeunesse sera prise et tu mourras. »

Alors que mon fils venait de sortir de ma vie, je volais au-dessus de l'île pour rejoindre le Rocher du Crâne. L'Ombre me le présenta comme un sanctuaire ayant été créé quand j'ai décidé de rester. À l'intérieur se trouvait un sablier géant qui représentant le temps où je pourrais rester sous ma forme d'adolescent avant de mourir. Mais j'étais déterminé à vivre éternellement, j'en trouverais le moyen.

« Présente-toi mon garçon.
Je suis Peter Pan. Je vis ici. Qui êtes-vous ?
Capitaine Jones. Et mon lieutenant. On est ici par ordre du roi.
Le roi, hein ? Il n'y a pas de roi au Pays Imaginaire. Il n'y a que moi. »

À part les enfants qui venaient ici en rêve, je ne voyais personne. Cependant, un jour, deux hommes arrivèrent au Pays Imaginaire. Ils se présentèrent comme étant le Capitaine Liam Jones et son frère Killian. Ils me dirent qu'ils venaient ici de la part de leur Roi, qui les envoyait à la recherche de l'Ombrêves pour des prétendues propriétés thérapeutiques. Je les prévenais que cette plante était un puissant poison mais ils ne m'écoutèrent pas.
Lorsque le dénommé Killian réalisa que j'avais raison, il était trop tard. Son frère s'était effondré après s'être blessé à cause d'une des épines de la plante. Killian était venu me voir, désespéré. Je le rassurais en lui disant qu'il y avait un moyen de guérir son frère mais qu'il y avait un prix à payer. Naïf. Il accepta sans savoir de quoi il s'agissait. Je lui laissais alors l'accès à la source et disparu lorsque Liam se réveilla. Ce que je ne leur ai pas dit, c'est que le prix à payer pour sa vie, c'était l'eau qui était connectée à Neverland. Tout ce que je sais sur la suite de l'histoire, c'est que Liam a dû mourir puisqu'il ne pouvait pas survivre s'il s'éloignait de l'île.

« La seule chose magique dans cette flûte est que seuls certains garçons peuvent l'entendre. Ceux qui se sentent mal aimés, perdus. C'est pour ça que tu peux l'entendre, Rumple. N'est-ce pas ? »

Ça faisait déjà quelques années que les frères Jones avaient quitté l'île. Me lassant des visites passagères d'enfants endormis, je décidais de recueillir des garçons du Royaume enchanté. Pour les attirer en pleine nuit, j'utilisais une flûte ensorcelée. Aussi, je gagnais la confiance de Baelfire et je l'informais d'un marché que je proposerais à son père afin qu'il lui laisse le choix de partir.
Après plusieurs années, je revis mon fils. Je profitais de cette confrontation pour lui expliquer que seuls les enfants qui ressentent la solitude peuvent entendre mon instrument, ce qui expliquait aussi pourquoi il l'avait entendu. Rumple me défia en affirmant que Baelfire, son fils, ne partira jamais avec moi. Je lui proposais alors un marché et je lui promis de partir si mon petit-fils refusait de me suivre. Je lui montrais où il se trouvait et Rumple utilisa la magie pour le ramener de force. J'étais furieux et je promis qu'il regrettera de ne pas avoir accepté le marché.

« Peter Pan n'échoue jamais ! »

Au fils des années, je finis par apprendre de l'Ombre que je pourrais rester jeune éternellement si je gagnais le « Cœur du véritable croyant ». J'obtenais par la même occasion un dessin d'un jeune garçon que je décidais de retrouver par tous les moyens.
Un soir, l'Ombre laissa tombée dans la mer un jeune garçon. J'envoyais les Enfants Perdus à sa recherche. Ce fut le Capitaine Crochet, que je connaissais surtout de son vrai nom, Killian Jones, qui le dénonça après que les garçons aient fouillé son navire. Felix constata alors qu'il n'était pas le garçon que je recherchais et lui laissa la vie sauve.
Peu après, je revis Wendy Darling. L'Ombre l'avait déjà amené sur l'île avant Baelfire. D'ailleurs, elle était venue le sauver, mais j'en fis ma prisonnière. Ainsi, j'engageais ses frères que j'utilisais comme des employés dans le monde sans magie. Je les faisais chanter en promettant la libération de leur chère sœur en échange de leurs services.
Et un jour, contre toute attente, je localisais enfin le Véritable croyant dans le monde sans magie. J'envoyais alors Jean et Michel, devenus adultes, chercher l'enfant qui venait d'être abandonné par sa mère à Boston. Cependant, Regina Mills obtient l'adoption du bébé et l'emmena avec elle loin de mes prétendus employés.

« C'est toi l'heureux propriétaire de ce cœur exceptionnel. Et maintenant, ton cœur et toi, vous m'appartenez. »

Une dizaine d'années plus tard, je recrutais Tamara et Greg pour, sois-disant, détruire la magie de Storybrooke. Apprenant qu'ils étaient tout près du garçon, je leur donnais l'ordre de me l'amener au Pays Imaginaire.
Peur après leur arrivé à Neverland, les Enfants Perdus les tuèrent alors que Henry parvenait à s'échapper dans la jungle. Je me fis passer pour un garçon en fuite et l'interceptais en prétendant vouloir l'aider. Alors qu'il me demandant pourquoi les Enfants Perdus voulaient aussi me retrouver, je lui mentis en lui disant que j'avais volé de la poussière de fée pour m'échapper mais que cette dernière ne fonctionnait pas. Henry réussit le test, il utilisa la poussière de fée pour nous faire voler au-dessus d'un ravin et, ainsi, échapper aux garçons. Je lui indiquais alors une clairière dans laquelle nous pouvions nous poser. Je lui dévoilais que j'étais Peter Pan et lui révélais mes plans tout en lui disant que j'avais besoin du cœur du Véritable croyant.

« Let's play ! »

Après avoir capturé Henry, je repérais sa famille venue à son secours. J'en profitais pour attirer Emma dans la jungle. Alors qu'elle me menaçait pour savoir où était son fils, je lui donnais une carte en prétendant qu'elle la mènerait à lui. Cependant, elle constata que cette dernière était entièrement blanche et me demanda si c'était une blague. Je lui répondis qu'elle était la seule à pouvoir le retrouver et qu'elle pourrait déchiffrer la carte lorsqu'elle cesserait de nier qui elle était vraiment.
Dès que je l'ai laissé, je suis parti monter un faux camp dans la jungle portant les habits d'Henry dans le but de mettre un place une mascarade si jamais elle utilisait la magie pour le trouver. Ce qu'elle fit, et je me retrouvais face à la famille dès le lendemain. Après lui avoir dit qu'elle avait triché, les Enfants Perdus tirèrent des flèches empoisonnées à l'Ombre des rêves jusqu'à ce que je les rassemble par un sifflement.
Quand j'ai su que Emma avait accepté ce qu'elle était, je la retrouvais et l'appelais la « Fille perdue ». Je profitais de l'occasion pour lui dire que son fils ressentait la même chose qu'elle et qu'il ne voudrait plus jamais quitter Neverland lorsqu'elle le retrouvera.
Revenu au campement, je réveillais Henry pour le provoquer dans un jeu. Plongeant une flèche dans l'Ombre des rêves, je lui expliquais qu'il devait viser la pomme placée sur la tête de Felix. Cependant, alors que je le voyais hésiter, je ne m'attendais pas à ce qu'il me tire dessus. Je stoppais la flèche, déstabilisé par le comportement d'Henry.
Je l'emmenais alors à l'écart pour lui parler et, plus précisément, pour lui avouer que je l'avais cherché pendant des siècles, sans jamais le trouver. Neverland fonctionnait à partir de croyance et de foie, je lui dis que la magie se meurt puisque les gens de son monde avaient cessé d'y croire. Je continuais en lui disant que son destin était de sauver la magie dans tous les mondes, qu'il devait rétablir les choses puisqu'il devait rétablir les choses puisqu'il descendait d'une lignée du Bien et du Mal à la fois. Je lui remettais alors un parchemin en lui conseillant de le regarder.
Cependant, je ne m'attendais pas à l'arrivée de Baelfire, plus connu, de nos jours, sous le nom de Neal. Ce dernier compliqua un tout petit peu les choses. Pendant l'une de nos fêtes, les Enfants Perdus et Henry sont balayés avant de succomber à un sommeil magique. C'est à ce moment que j'ai su que c'était mon fils et mon petit-fils. Baelfire me tira dessus, comme Henry auparavant, mais j'attrapais la flèche sans aucun problème. Je m'étais fait avoir, il n'avait pas empoisonné la pointe de la flèche mais le bâton. Je me retrouvais immobilisé alors que les deux adultes récupérèrent Henry. Refusant de m'avouer vaincu, j'évoquais à Neal la prophétie, accusant Rumple de vouloir tuer son petit-fils.
J'avais réussi à séparer le père et le fils. Ce fut plus facile de reprendre Henry. Je prenais un malin plaisir à rappeler à Neal qu'il ne faut jamais entrer quelque part sans s'assurer de pouvoir en sortir. Felix récupéra alors Henry et Neal jura de le récupérer, mais je lui rappelais que mon jeu consiste à ce que je le garde avec moi.
La fête avait repris et Henry se réveilla. Je le rassurais, comme je le faisais avec mon fils, et il me dit se souvenir d'avoir entendu son père. Mais il m'expliqua vite qu'il avait du rêver car son père était mort. Je lui expliquais que c'était normal de rêver de ce que l'on a perdu, et que le Pays Imaginaire a le don de matérialiser les rêves. Une faille c'était ainsi ouverte, j'en profitais pour jouer de la flûte et Henry rejoint les autres Enfants Perdus.

« J'essaie juste de souligner la lueur d'espoir dans ta triste vie.
- Qu'en te tuant, tout nos problèmes s'arrêtent ?
- On sait tous les deux que ça n'arrivera pas, car le seul moyen pour ça, est que tu meurs aussi. »

Au camps, Henry est défié en duel par un des Enfants Perdus. J'intervenais en les félicitant mais leur expliquais aussi que se serait mieux avec des vraies épées. À la surprise de tout le monde, une véritable épée prend la place du simple bâton d'Henry. Le duel reprenait alors et il parvenait à trancher le bâton du garçon et le blesser. Alors qu'il venait de s'excuser, je lui expliquais que le privilège d'être un Enfant Perdu est de ne jamais s'excuser.
Un peu plus tard, je retrouvais Crochet au sommet de la falaise. Je lui proposais de revenir travailler pour moi, mais il refusa ma proposition. J'insistais en lui offrant une possibilité de quitter l'île mais il refusa encore une fois. Je lui demandais pourtant de tuer David avant que le poison ne le tue. Cependant, ce dernier est parvenu à rejoindre Crochet sans la corde, et je dus partir avant d'être découvert.
Je le rejoignis plus tard et lui dévoilais que Neal était encore en vie, et surtout qu'il était présent sur l'île. Je le mis aussitôt au défi de montrer quel homme il était réellement, et lui demandais de dévoiler le secret à Emma ou je le ferais moi-même.
Après avoir été voir Neal, je décidais d'aller voir mon propre fils. Lui permettant de quitter l'île, ce dernier refusait dans le but de sauver sa famille. C'est alors que je lui rappelais que, tout comme lui avec son propre père, Neal ne lui pardonnera jamais son abandon. Par ailleurs, je poursuivais avec le fait que Belle l'attendais toujours à Storybrooke, et je suggérais même qu'il aille fonder une nouvelle famille avec elle. Plus tard, j'observais, avec Felix, la famille d'Henry s'enfoncer dans la jungle. Je lui ordonnais de transporter Neal jusqu'à la Grotte de l'Echo tout en me réjouissant de la tournure du jeu.

« Mes frères ! Ce soir, le rêve de Neverland s'éveillera de son sommeil. Ce soir, le cœur du Véritable croyant va accomplir son destin. Et notre destin avec. Ce soir, Henry sauve la magie ! »

Au campement, je sentis que qu'un quittait Neverland. Seulement, il était trop tard pour l'arrêter et il fallait prévenir les frères de Wendy à Storybrooke afin qu'ils s'en occupent. Cependant, j'estimais que Henry devait être prêt au moment que j'avais prévu. J'informais alors Felix que j'allais parler avec la personne qui se trouvais dans l'autre cage.
Quant à Henry, ce dernier m'accusait de lui mentir au sujet de sa famille. C'était vrai, certes, mais je devais le garder avec moi. Je lui demandais alors pourquoi elle ne venait pas le sauver, ce à quoi il pensait que je faisais tout pour la tenir éloignée de lui. Il est alors parti dans la forêt et Felix était venu me retrouver parce qu'il pensait qu'on était en train de le perdre. Cependant, j'en attendais pas moins de Henry par rapport à son origine familiale. Il me demandait alors s'il devait amener la cage au campement, mais j'avais une autre idée en tête.
Dans la jungle, j'ordonnais à Felix de se rendre à l'autre bout de l'île pour y livrer des provisions. J'ajoutais qu'il devait s'assurer que Henry ne se doutait de rien.
J'attendais que Henry découvre Wendy. J'allais même jusqu'à écouter leur conversation. Tout se passait comme prévu. Wendy jouait bien son rôle. Au départ de Henry, je ne pu m'empêcher de me moquer de la tirade de la jeune fille sur Baelfire. Wendy regrettait son mensonge, mais c'était plutôt un mal pour un bien. Puis, Wendy retourna dans sa cage.
Je retournais voir Henry. Il affirmait que je lui mentais car il avait trouvé l'existence de Wendy. C'était vrai, je lui mentais. Et je continuais mon mensonge en lui disant qu'elle était mourante car la magie sur l'île s'éteignait peu à peu. Je savais que Henry voudrais la sauver. Je l'emmenais sur une falaise donnant sur la mer et où l'on pouvait voir le Rocher du Crâne. Je lui expliquais, qu'à l'intérieur, le salut les attend, et que le cœur du Véritable croyant peut le permettre de l'atteindre. Je lui confiais que la mission serait difficile et requiert à la fois de l'héroïsme et du sacrifice. Henry était enfin prêt. J'allongeais alors Wendy sous ses yeux, je lui mis une couverture, tout ça avant de lui avouer que j'avais peur que son état s'aggrave. Mais je le rassurais en lui disant qu'en sauvant la magie, Henry les sauvera tous, mais qu'il devait y croire. Je l'emmenais rejoindre les Enfants Perdus, et leur annonçais que, ce soir, Henry allait sauver la magie.

« Je ne t'ai jamais oublié ! Pourquoi penses-tu que je me fasse appeler « Peter Pan » ? »

Quelques minutes plus tard, nous nous dirigions à la rame vers le Rocher du Crâne. En accostant, je lui confiais de n'y être pas revenu depuis longtemps. Je traçais ensuite une ligne dans le sable, juste derrière nous. Un simple sort de protection.
Plus haut, on arrivait dans une grande salle où se tenait le sablier géant, d'où émanerait toute la magie du Pays Imaginaire. Henry remarqua qu'il était presque vide alors que j'étais surpris par un bruit étrange. Je demandais au garçon de m'attendre sagement un peu plus loin.
Je fut à peine étonné de voir mon fils avec la Boîte de Pandore. Il affirmait que je n'étais plus son père, que je n'étais qu'un lâche. Je lui lançait le défie de me piéger, même si je prétendais l'avoir amené à moi pour lui donner une dernière chance, en laissant tomber son stratagème, allant jusqu'à proposer à ce que l'on reprenne notre relation depuis le début. Mais il refusa. Je lui laissais une dernière chance, mais il la laissa passer en essayant d'activer la boîte en vain. C'était moi qui possédait la véritable Boîte de Pandore. Je l'activais et mon fils se retrouva aspiré par une fumée rouge.
Je revenais ensuite auprès d'Henry et je déposais la boîte dans un coin. Je lui annonçais qu'il était l'heure de sauver la magie. Pour cela, il devait me donner son cœur, au sens propre. Il savait que cela impliquait un sacrifice, même sa famille, lorsqu'elle arriva, ne put empêcher ce qui allait se produire. Henry plaça son cœur doré dans mon corps. Une vague d'énergie se propagea alors sur l'île tandis que Henry s'effondrait au sol et que je m'élevais dans les airs.
Regina, Blanche-Neige et Emma me retrouvèrent au Bois des Fées, près de l'arbre où j'avais abandonné mon fils autrefois. Je me moquais ouvertement de leur naïveté. Je les qualifiais de mères qui feraient tout pour leur enfant et je leur promis que la mort était le seul moyen pour elles d'être réunies avec Henry.
Par la même occasion, je leur avouais que j'étais bel et bien le père de Rumplestiltsin. J'attendais que ma magie me revienne tout en expliquant à Emma que je ressentais toute la tristesse de Henry par rapport à son abandon. J'incriminais ensuite Mary-Margaret et qualifiais son geste de mauvais exemple pour sa fille. Quant à Regina, je lui demandais de prononcer des paroles de regrets car j'estimais que c'était elle qui devait en avoir le plus. Cependant, elle n'en avait pas et elle réussit à se libérer, elle et les autres, de la liane qui les retenais à l'arbre. J'eus juste le temps de voir sa main traverser mon corps pour récupérer le cœur d'Henry avant de sombrer.
Quand je repris mes esprits, je partis retrouver Henry dans la cale du Jolly Roger. Tentant de reprendre le cœur, je comprends que cette sorcière a utilisé un sort de protection. Je décidais alors de m'emparer de l'ombre d'Henry. Cependant, Rumple arriva à temps pour sauver son cher petit-fils en voulant m'enfermer dans la Boîte de Pandore. Il cru réussir. Il croyait réellement que je m'étais fait avoir. Mais, en réalité, j'avais échangé mon âme avec celle d'Henry et je regardais mon corps se faire aspirer dans cette boîte ridicule.
Ce faire passer pour Henry fut un jeu d'enfant, c'est le cas de le dire. Je rejoignis Neal qui essayait de me rassurer avec son air paternel. Si Henry était là, il aurait pu entendre son père lui dire qu'il ne l'abandonnerait plus jamais. Mais seulement, il n'aura jamais cette chance de l'entendre.
Après avoir récupéré un bol de nourriture, je me dirigeais vers Felix qui s'était mis à l'écart. Il affirmait m'être toujours fidèle et nous prononcions en même temps les mêmes paroles : « Peter Pan never fails. », ce qui le surpris. Mais il comprit bien assez tôt que j'étais bel et bien Peter Pan. Il finit par manger et me remercia.

« Qu'est ce que tu fais ?
- Ils ont besoin de me faire confiance. »

Arrivée à cette petite ville nommée Storybrooke, une foule enthousiaste nous acclamait alors que l'on descendait du navire. J'en profitais alors pour dire à Emma que « Henry » était contant de revenir « chez lui ». Alors que le calme revenait, David commençait à s'inquiéter de l'Ombre, toujours piégée dans la voile du Jolly Roger. Je me rapprochais alors de Felix et lui annonçait qu'il devait être puni pour que les autres me fassent confiances. Prenant alors le rôle d'Henry, j'appelais ma prétendue famille pour que l'on enferme Felix car je « craignais qu'il s'en prenne à moi par fidélité à Peter Pan ».
Quelques minutes plus tard, j'étais plongée dans le livre de contes. Ma prétendue mère me donna l'ordre d'aller me coucher et, alors que l'on croisait Regina, je lui demandais si je pouvais dormir chez elle.
Dans la chambre du garçon, je contemplais chaque recoin de cette pièce. Alors que Regina arrivait, j'en profite pour lui parler de son caveau et si celui-ci possède de la magie. Pour éviter la surprise de ma « mère adoptive », je lui confiais ma crainte de Peter Pan. Cette dernière me rassura et me dit que son caveau était fermé et que la magie n'était pas la réponse à mes craintes. Après qu'elle m'ait bordé, je me levais et ouvrit la fenêtre tout en contredisant ses propos. Je délivrais alors l'Ombre des voiles du navire de Crochet.
Plus tard, Regina vint me chercher en affirmant qu'il s'était passé quelque chose en ville. Elle m'emmenait sur les lieux du crime, là où se trouvait le corps de la Fée Bleue. Ils parlèrent alors de la libération de l'Ombre et j'en profitais pour exprimer mes craintes d'être « menacé ». Regina décidait alors de m'emmener dans son caveau.
Une fois à l'intérieur, je profitais de son moment d'inattention pour ouvrir une fiole sous son nez. Je la regardais s'effondrer et je sous-entendais par la même occasion que l'amour était une faiblesse.
Retrouvant Felix sur une colline bordant la ville, je lui dévoilais le parchemin de la Malédiction. Je lui expliquais que je voulais utiliser le sort afin d'obtenir tout ce que j'ai toujours voulu. Je lui expliquais qu'ils oublieront l'identité qu'ils avaient à Storybrooke et que le temps se figerait, ainsi se créerait un nouveau Pays Imaginaire. Pour se faire, nous nous rendons au puits à souhaits. Puis, je lui demandais de me passer les ingrédients du sac que je versais dans le puits. Je lui expliquais alors que l'amour n'est pas seulement romantique et familial, mais qu'il peut aussi faire partie de l'amitié. Je lui arrache alors son cœur et le réduit en poussière au dessus du puits. Une épaisse fumée de couleur verte commença à faire son apparition.

« Quand je regarde mon fils avant la fin, que je le vois vraiment et que je réfléchisse à ce qui aurait pu advenir. C'est ce que tu veux ? Moi oui. Je me souviens t'avoir regardé, un tout petit bébé, sans défense et tout à moi. Ces grands yeux pleins de larmes, qui m'enlevaient tout. Mon nom, mon argent, mon temps. Mes espoirs de rendre ma vie meilleure. Cette petite larve rose et nue qui gigotait, qui voulait dévorer mes rêves sans s'arrêter. Quel âge as-tu ? Deux ou trois cents ans ? Ne puis-je pas être libéré de toi ? »

Lorsque je me suis réveillé dans mon propre corps, je me retrouvais face à mon fils. M'attendant à être assassiné dans mon sommeil, je remarquais le bracelet mis sur mon avant-bras. Je me moquais de Rumple. Décidément, il croyait réellement m'avoir comme ça ? Qu'il en soit ainsi, je le laisserais croire jusqu'à ce que je me lasse de tout ça. Il voulait que je lui exprime mes regrets. Je m'exécutais. J'exprimais alors le regret d'avoir dû l'élever, d'avoir perdu mon temps et mon argent pour lui. Alors qu'il se décidait à me tuer, j'enlevais mon bracelet tout en lui expliquant qu'il n'avait aucun effet sur moi puisque je l'avais conçu. L'attachant au poignet de Rumple, j'envoyais ce dernier à travers la pièce. Je lui expliquais que, bientôt, le sort que j'avais lancé envahirait les poumons et le cerveau de chacun des habitants, les tuants sur le coup. Pour en finir avec mes paroles, je lui crachais que sans magie, il restait qu'un lâche.

« Qu'est ce que tu fais ?
- Tu vois, le seul moyen pour que tu meures est que nous mourrions tous les deux. Et maintenant... Maintenant... Je suis... Prêt. Salut papa.
- Rumple, s'il te plaît. Tu peux arrêter ça. Enlèves la dague. On peut recommencer. On peut avoir une fin heureuse.
- Mais je suis un méchant. Et les méchants n'ont pas de fin heureuse. »

Je profitais du moment d'inattention de la petite famille pour reprendre le parchemin et les figer sur place. Je me moquais d'eux. Mais mon fils était résigné à ne pas me laisser faire. Il voulait m'empêcher de nuire à sa famille. Après son petit discours, riche en émotions, et auquel je ne pouvais m'empêcher de me moquer, il me prend par surprise en expliquant avoir demandé à son ombre de cacher sa Dague. Il fit appel à elle, alors qu'il me serrait dans ses bras, il me l'enfonça dans le dos.
Je ne pouvais pas cacher la douleur, et peu à peu je sentais la jeunesse me quitter. Alors qu'une fumée noire avait fait son apparition, je redevenais celui que j'avais été, un adulte. Rumple ne pu s'empêcher de me saluer de nouveau. Et, dans un ultime effort, tenant à peine sur mes jambes, je demandais à mon fils de cesser cette torture, qu'il nous laisse la chance d'enfin avoir une fin heureuse, ensemble. Mais les méchants n'ont pas de fin heureuse. Ce fut là les dernières paroles de mon fils avant que l'on soit tous les deux irradiés par une lumière jaune.

« Peter Pan never fails ! »

Que vous croyez cette histoire ou non, cela m'importe peu. J'ai vu Rumple une nouvelle fois aux Enfers. Je lui avais demandé de m'aider à sortir de là, mais ce ne fut pas le cas. Il était bien trop intéressé par ses petites affaires et il ne comptais pas me laisser sortir de cette charmante prison. J'étais piégé dans le monde d'Hadès.
Lorsque j'ouvris une nouvelle fois les yeux, tout avait changé autour de moi. Je me levais de ce lit qui m'était complètement inconnu. Où étais-je ? Qu'est ce qu'il s'était passé ? Je n'en avais pas la moindre idée. Je suis sortie en ville, savoir ce qu'il s'était passé. Je regardais les alentours, tout me semblait étranger. Ce n'est qu'en me renseignant que je su réellement où j'étais, à Imaginarium. Mort ou vivant dans son histoire d'origine, tout le monde se retrouvait dans cette ville. Peut importe notre histoire, peut importe qui nous étions autrefois, nous nous trouvions tous, aujourd'hui, en ce lieu qui se voulait être la croisée des mondes. Qu'il en soit ainsi. Avec un peu de chance, dans cette ville, je pourrais obtenir ma vengeance sur certaines personne. Les aventures de Peter Pan sont loin d'être finies. Et maintenant...

Let's play !
Revenir en haut Aller en bas
Sirius O. Black
Sirius O. Black

Sac à puces


Messages : 157


Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Empty
MessageSujet: Re: Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. EmptyJeu 10 Aoû - 21:35

Félicitation, tu es validé(e)  !
Comme je te l'ai déjà dit, ta fiche est comme un roman, longue et passionnante ! Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. 2646053535

Je te félicite, tu es maintenant officiellement validé(e) ! Maintenant que tu as ta nouvelle couleur, tu vas pouvoir aller rp et t'amuser sur le forum ! Enfin, avant toute chose, je te conseille de faire un tour dans les bottins pour réserver ton personnage. Si tu veux te faire des amis plus facilement, tu peux également poster une fiche de lien et répertoire rp. N'hésites d'ailleurs surtout pas à passer nous faire un coucou sur la chatbox ! J'espère que tu t'amuseras sur If It Were Real et si tu as la moindre question, n'hésites surtout pas à nous contacter !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé






Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Empty
MessageSujet: Re: Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan. Empty

Revenir en haut Aller en bas
Oh, did I forget to introduce myself ? I'm Peter... Peter Pan.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Same or not the same [Peter M. Pan]
» Peter Pan never fails.
» Armoire aux RPs de Peter
» Le temps d'un livre [Peter Pan]
» Peter Pevensie - May your wisdom grace us until the stars rain down from the heavens.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
If It Were Real :: Prologue :: Présentations :: Validés-
Sauter vers: