Carter Sheperd | ft. André Hamann (m, libre)

Je me présente, je me nomme Carter Sheperd, et j'ai 20 ans. Je viens tout droit de Londres et, dans la vie, je suis métier au choix. Je suis arrivé ici depuis quelques mois et je m'y plais bien. Je suis hétérosexuel et actuellement marié. Je finirais par vous dire que je suis dans le groupe intitulé améthyste. Maintenant, vous en savez un peu plus sur moi.

Ton histoire aurait pu être complètement banal, mais ce n'est pas le cas. Tu n'as pas grandit dans l'amour de tes parents. Tu m'as raconté que tes parents n'avaient de cessent de se disputer. Ils n'étaient pas d'accord sur ton éducation, ni sur l'éducation de ta jeune sœur. Ta mère est une moldue alors que ton père est un sorcier, et il avait caché ce monde à ta mère jusqu'à ta lettre de Poudlard. Il ne pouvait plus nier, il avait menti depuis bien longtemps. Mais ce n'était pas le soucis principal de tes parents. Le sujet de leur dispute, c'était ta petite sœur, ou, plutôt, ta demi-sœur. Ta mère savait très bien que ton père mentait, et elle lui avait soupçonné une amante. C'est pour ça qu'elle a trompé ton géniteur, c'est comme ça que ta sœur est née. Ta sœur est une moldue, mais tu l'aimes profondément. Tu lui transmets tout l'amour que tes parents ne peuvent lui donner dans leur disputes incessantes.
Nous nous sommes rencontrés en première année avec Kathleen et, tous les trois, on ne s'est plus jamais quitté. Puis, la quatrième année est arrivée. Je m'étais affirmée et j'avais fini par accepter de sortir avec toi. Mais cette relation était très bizarre. D'un commun accord, nous décidions de nous séparer, c'était comme sortir avec son frère. C'était étrange. Pourtant, nous restions très proches, continuant à rire ensemble et partageant nos plus grands secrets.  Et même après Poudlard, nous sommes restés en contacts, nous avons même vécus en collocation ensemble jusqu'à ce que je me sente de trop. Je savais que ça finirait comme ça entre Kathleen et toi.

petit plus : Tu es le genre de garçon qui se soucie des autres. Tu as le cœur sur la main, toujours prêt à donner au monde qui t'entoure. Tu restes très patient envers les autres et tu ne cherches pas à les brusquer. Tu ne supportes pas de voir les autres souffrir et tu te sacrifierai pour notre propre bien. Je ne veux pas que tu te sacrifie et je sais que tu ne le feras pas, mais je sais que je peux compter sur toi. Parfois, tu souffres de cette gentillesse, et je voudrais tellement t'enlever cette douleur.